
Encore une fois, c’est allé très vite pour le déploiement du projet. L’élément déclencheur trouve sa source il y a deux ou trois ans. Mais l’histoire prend un peu de retard. Un délai en partie dû aux réorganisations de la maison-mère, le groupe Vivarte. Cela dit, la problématique reste inchangée au fil du temps: pour Besson Chaussures, il s’agit de revoir le système d’encaissement en y intégrant une solution de gestion de la fidélité. Il faut dire qu’à l’époque, “nous gérions la fidélité de façon quelque peu archaïque, avec des cartonnettes sur lesquelles nous collions des points. Autrement dit, nous ne pouvions pas identifier nos clients et bâtir une stratégie de CRM adaptée”, souligne André Chaput, DSI de Besson Chaussures. L’entreprise se tourne, alors, naturellement, vers son partenaire historique. L’éditeur intégrateur Cap Info accompagne, en effet, depuis 2007, Besson Chaussures sur la maintenance de la partie TPE et flux monétiques. “Ils avaient repris notre système d’encaissement et le maintenaient sur un outil propriétaire. Quand nous leur avons demandé si l’on pouvait interfacer leur module de fidélité sur notre système, ils nous ont fait comprendre que oui, c’était possible, mais risqué, instable et probablement plus coûteux que de tout remettre à plat. Il faut dire que lorsque l’on avait signé pour la maintenance 5 ans plus tôt, ils nous avaient prédit que nous passerions sur leurs outils d’ici à deux ans. Honnêtement, comme j’étais satisfait de leur travail de