Trois mois après l’arrivé de Jérémie Beyou sur le Vendée Globe 2020-2021, le skipper et Charal annoncent la prolongation de leur partenariat jusqu’à fin 2026. Avec, la clé, un nouvel Imoca dans les cartons, Charal 2, dessiné par Sam Manuard, dont la construction vient de débuter chez CDK technologies à Lorient pour une mise à l’eau prévue en juin 2022.
« Depuis 2017, nous avons construit une très belle histoire humaine, confirme Stéphanie Bérard-Gest, directrice Marketing de Charal. Nous voulions mettre en place un marketing différent, plus expérientiel, pour faire partager au plus grand nombre l’histoire du team et de Jérémie autour de notre signature ‘Vivons Fort’ ! Nous avons, pour cela, imaginé un dispositif complet qui a vraiment rencontré son public ».
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : sur les départs de courses, 40 000 visiteurs ont été en contact direct avec Charal sur les stands aux couleurs de la marque, avec des expériences fortes, comme la célèbre Charalienne (tyrolienne) ou les ateliers cuisines et dégustations. Charal a aussi pu s’adresser aux jeunes grâce à son kit éducatif spécial Vendée Globe, qui a fait l’objet de 11 000 téléchargements et a été distribué à 8 000 exemplaires dans les écoles. L’engouement s’est également manifesté sur les réseaux sociaux – les comptes officiels du Charal Sailing team ont gagné 20 000 fans sur Facebook et plus de 30 000 sur Instagram -, mais aussi en interne.
Les retombées médiatiques étaient également au rendez-vous : « Pour le Vendée Globe, l’étude de médiatisation certifiée par Kantar calcule les retombées à 3,5 millions d’euros en équivalent achat d’espace publicitaire, ce qui place notre bateau en quatrième position. Pour Jérémie lui-même, cette valorisation se monte à 12 millions d’euros. En notoriété, enfin, le partenariat a gagné 15 points entre 2018 et 2020, ce qui signifie que de plus en plus de personnes savent que Charal est investie dans la voile et donc associée à ses valeurs. Le bilan et très positif et explique qu’aujourd’hui, nous avons envie d’aller plus loin et d’accompagner notre skipper dans son rêve de deuxième Vendée Globe », conclut-elle.
Photo : DR Gauthier Lebec / Charal