Dans la distribution française, les règlements en espèces restent très fréquents, même si par rapport à d’autres pays développés, ils se placent un peu en bas de la fourchette. Ils sont, ainsi, estimés entre 25 et 50% en volume de transactions. Au final, le taux de paiement en espèces reste stable alors qu’il y a de plus en plus de monnaie en circulation. Le liquide est, en effet, un outil de contrôle du budget très efficace en temps de crise, pour les ménages. “Un certain nombre de consommateurs privilégient les espèces, soit par obligation car ils n’ont pas d’autres moyens de paiement, soit pour des raisons de gestion au plus juste de leur budget”, annonce Patrice Moreau, Directeur du marketing chez Brinks. Des paiements en espèces stables, voire plus fréquents, et les tentations se font plus fortes. Conséquences:
