Perçu comme l’Eldorado du commerce alimentaire, le drive n’a pu, jusqu’alors, exploiter le category management. “Avec un parc de drives multiplié par 3 en 4 ans, les distributeurs alimentaires se sont attachés à la course au déploiement au détriment du merchandising, explique Stéphanie Engling, membre du Comex du groupe HighCo. Les produits sont encore présentés au sein des rayons par ordre alphabétique ou par historique de référencement, ce qui ne facilite pas l’expérience utilisateur”. 2016 risque bien de marquer un renouveau puisque “les drives sont en train d’intégrer à leurs sites des outils de e-merchandising et de personnalisation
