
Premier constat : les projets se font plus modulaires, plus évolutifs. “Nous ne percevons pas cela pas comme une conséquence de la crise mais comme un effet plus général de l’évolution de la perception qu’ont les entreprises clientes de l’informatique : elles ne veulent plus de gros projets avec leurs “effets tunnel” traditionnels mais préfèrent avancer brique après brique, en ayant bien en tête de les assembler ensuite”, remarque Cyril Meunier, research and consulting manager IDC France. “La bonne nouvelle pour l’informatique – un acquis de la crise -, c’est que maintenant elle sait beaucoup mieux se vendre et démontrer son efficacité économique et opérationnelle grâce à des discours de type ROI et TCO (Coût de Possession Total). C’est devenu une exigence, une discipline et presque un réflexe. Cela contribue au fait que les