Face aux difficultés d’adoption de la RFID, le débat code à barres et RFID perdure même si les domaines d’applications de chacun s’affinent. Le premier garde l’avantage du prix dans la chaîne de traçabilité et le second celui d’une interaction plus importante avec le client en fournissant davantage d’informations, lesquelles sont ré-inscriptibles. “Plus les organisations évoluent et se dirigent vers les hautes fréquences, plus cette évolution se traduit par une augmentation du débit. C’est-à-dire qu’en fait, plus les applications montent en fréquence, plus les entreprises obtiennent un volume utile de données exploitables. Ce qui veut dire qu’il est alors possible d’ajouter des protocoles de correction d’erreurs, d’encryptage, de sécurisation, etc. mais, également, de nouveaux services, comme localiser une puce dans un espace”, développe Jérôme Delorme, dirigeant de Jidelec.
Le vêtement et sa pucePour ces raisons, le textile pour les inventaires ou les antivols restent le terrain privilégié de la RFID avec un modèle de ROI plus clair et sans contrainte technique (lecture au niveau du métal et des liquides), “L’inventaire à la volée, à grande distance,