Les points forts
» Épilation Un secteur concurrencé qui vieillit.
» Stratégie Viser les jeunes et miser sur une stratégie rupturiste.
» Innovation Le rasage évolue vers le soin.
“Pesant 100millions d’euros, le secteur de l’épilation connaît une décroissance valeur de l’ordre de -4,6% en 
valeur” (1), révèle Chaïmaa Chmainy, chef de Produit Laurence Dumont. 
Réparti “entre les dépilatoires chimiques (28% du marché), la cire (63%), les décolorants et autres (9%), le marché inclut de nombreux produits valorisés en particulier les cires résines et orientales”, complète Céline Muller, consultante IRI. Produits historiques, les dépilatoires chimiques sont en baisse, tout comme les cires résines et orientales où l’on observe une forte baisse de la demande. En revanche, le segment de la cire froide enregistre une croissance dynamique. Sur le marché, les leaders sont Veet, avec 48,7% de PDM valeur, suivi de Nair (12,4%) – ces deux marques assurant l’essentiel des ventes –, Laurence Dumont (7,3%), Blond’Epil (4,9%) et les MDD. Laurence Dumont tire son épingle du jeu avec une croissance volume de 13%, la marque quasi trentenaire performant sur le secteur des bandes de cire froide, en croissance de 6,5% en valeur. Egalement première marque française de 
bandes dépilatoires, Laurence Dumont a enregistré une hausse volume de
