375millions d’euros de chiffre d’affaires et 1,36?milliard de pièces vendues sur l’année 2013. Pas de doute, le marché total de l’hygiène féminine se porte bien. Les ventes ont augmenté en valeur de 0,4% en cumul annuel mobile (CAM) au 11?mai 2014 et de 1% en volume (1). Articulé autour de trois segments, le marché se répartit entre les tampons (24%), les serviettes ultra (39%), les serviettes maxi (12%) et les protège-slips (25%). Si les tampons connaissent un léger recul (-3,2% en CAM, du fait d’une perte d’acheteurs pour la 1re fois depuis 3 ans), les serviettes enregistrent une hausse, tirée par la progression des ultras (+ 2 %) pendant que les protège-slips sont le lieu de bataille des marques. Les tampons représentent 16% des ventes en valeur, les protège-slips 37%, les ultra 26% et les maxi 10%. Au global, "le marché de l’hygiène féminine externe s’inscrit dans une bonne dynamique et l’année 2013 a été excellente, puisqu’elle a enregistré une hausse de 1,6% en valeur en CAM", se réjouit Delphine Jacq, Marketing Manager de la santé féminine chez Johnson & Johnson. Sur le secteur, trois acteurs s’affrontent: SCA avec Nana, Procter avec Always et Tampax et, enfin, Johnson & Johnson avec Vania et Nett. "Sur la catégorie, les consommateurs font toujours plus confiance aux marques, rappelle Marie-Laure Mahé, directrice marketing SCA Europe du Sud. Aussi, les marques représentent 60% de PDM".
Renouveler l’offre pour séduirePour recruter, les marques adoptent des discours gratifiants, replacent