Le 31 août 2022, le Conseil d’administration de la Feef a élu Léonard Prunier Président et Jeanne Cluzel Lemoine, Vice-présidente.
La Feef représente les PME des Territoires, fournisseurs de la distribution, et regroupe 1 000 entreprises françaises indépendantes.
Léonard Prunier (Dauphine, 46 ans), président de la maison Prunier a été élu président de la Feef. Il en était le vice-président depuis 2020 et membre du Conseil d’administration depuis 2017. L’entreprise familiale Prunier, fondée en 1931 par ses arrière-grands-parents, est spécialisée dans la fabrication de spécialités charcutières haut de gamme. « Je tiens à remercier Dominique Amirault qui, après 10 ans de présidence, a dû se mettre en retrait pour des raisons de santé. Je souhaite souligner son action en faveur des entrepreneurs PME indépendants et notamment son engagement en matière de RSE avec la création du Label PME+. Cette élection intervient à un moment crucial pour la pérennité des fabricants PME et le dynamisme économique des territoires. Plus largement, il s’agit de garantir collectivement la souveraineté alimentaire et industrielle française », souligne-t-il.
Jeanne Cluzel Lemoine, vice-présidente de la Feef et co-fondatrice du Groupe Lemoine
De son côté, Jeanne Cluzel Lemoine (Sciences Po Paris, Assas, 71 ans) est membre du Conseil d’administration de la Feef depuis 2020. Devenue entrepreneure à 25 ans, elle est co- fondatrice et co-dirigeante du Groupe Lemoine, ETI familiale ancrée en Normandie, spécialisée dans les produits de soins et d’hygiène beauté à base de coton pour la grande distribution. Pour répondre aux défis écologiques, l’entreprise a remplacé le plastique par du 100% carton issu des forêts durables et privilégie l’économie circulaire. « Dans cette période de bouleversements, les défis sont aussi nombreux qu’inédits pour les TPE/PME/ETI fournisseurs de la distribution. C’est pourquoi, ces dernières pourront compter sur mon implication dans leurs combats au quotidien. Je serai également engagée à leurs côtés pour poursuivre la réindustrialisation dans les territoires et, ainsi, accélérer la transition écologique et renforcer la production française, génératrice d’emplois et d’impacts positifs sur notre économie nationale et le bien commun », précise-t-elle.