Dans un communiqué commun, les principales fédérations représentatives du commerce regrettent et font appel de la décision de la ministre du Travail, Elisabeth Borne, de ne pas rendre « automatique » les autorisations d’ouverture dominicale des commerces en janvier et pendant la période des soldes (reportés du 6 au 20 janvier), comme cela avait été accordé par le gouvernement pour le mois de décembre). Cette décision contraint les organisations professionnelles et les commerçants qui le souhaitent, à effectuer des démarches lourdes et tardives auprès des préfectures pour demander une dérogation au repos dominical des salariés.
Chiffre d’affaires en baisse, stocks importants : les conséquences de la crise sanitaire impactent les commerçants qui ont, plus que jamais, besoin de travailler en janvier, tout en continuant à respecter les protocoles sanitaires.
Un appel lancé conjointement par l’Alliance du Commerce, le CNCC (Conseil national des centres commerciaux), la FCA (Fédération du commerce coopératif et associé), La Fédération française de la franchise et Procos (Fédération pour la promotion du commerce spécialisé).