La holding familiale Léa Compagnie Biodiversité, créée et présidée par Charles Kloboukoff, qui regroupe Léa Nature, Bioléa et Ékibio, investit 100 M€ de 2017 à 2020 dans ses outils de transformation de produits bio et la logistique. Ces investissements créent de la valeur, des emplois et donnent du sens à une offre bio à la fois locale et fabriquée en France.
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Léa Compagnie Biodiversité devient ainsi le 1er investisseur français dans la bio sur l’ensemble du territoire. En 2017, elle a réalisé 366 M€ de chiffre d’affaires (en progression de 23% également).
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"Avec ces investissements, notre volonté est de continuer nos engagements forts pour la santé et le bien-être par l’alimentation qui font le succès du Groupe, avec des ingrédients issus de l’agriculture biologique, cultivés dans des régions et terroirs reconnus, en France chaque fois que possible, le développement de sites de production à taille humaine au plus près des champs et les emplois verts sur le territoire", a souligné Charles Kloboukoff
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Le marché de la cosmétique bio et naturelle en France représente quelques 600 M€ dont 198 en grandes surfaces, en progression de 24,6 % (source : IRI CAM P08 2018 – HMSM + e-commerce).
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La marque phare de Léa Nature, SO’ BiO étic, vendue en grandes surfaces, possède 28,3 % de part de marché ce qui la place comme marque n°1 avec une croissance de plus de 35%. Les marques Jonzac, Natessance et Douce Nature, vendues en réseaux spécialisés, connaissent également de forte croissance.
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Une usine bio du futur
Pour répondre à la forte demande, Léa Nature a engagé 80% de ses investissements industriels annuels dans une nouvelle usine cosmétique à Périgny.
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Sur le terrain adjacent de 3,3 ha à l’entrepôt logistique de Léa Nature 2 (ex-Delphi), la construction de la nouvelle unité de production de cosmétique bio a démarré fin 2017 et s’achèvera fin 2018.
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Construite selon un cahier des charges écologique, elle sera équipée :
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– d’une station d’épuration naturelle basée sur la technologie des « biodisques ». Une première en France pour le traitement d’effluents issus de la cosmétique !
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– elle disposera également d’un système de récupération des eaux de rinçage pour maîtriser nos consommations d’eau ;
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– une chaufferie optimisée à basse température et des groupes d’eau glacée avec récupération d’énergie.
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– la majorité des matériaux sont écologiques : sols en linoléum en fibres naturelles sans PVC, ou en parquet, peintures naturelles, éclairage LED.
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L’investissement total représente 20 M€ dont 7M€ de matériel. Une attention particulière a été portée pour privilégier les partenariats industriels nationaux à plus de 99%, notamment avec les sociétés VMI, GOAVEC, KALIX, PKB et UNISTA.
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L’atelier de fabrication et de conditionnement des huiles pour la phytothérapie restera actif au sein du siège social. L’activité cosmétique disposera ainsi de 8000 m² de locaux dédiés, dont 3000 m² pour la production.
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Les objectifs de production en 2019 sont de 21 millions d’unités produits. Ils sont actuellement de 15 millions d’unités d’ici fin 2018. A terme, l’objectif est de passer notre capacité de production à plus de 40 millions pour 2021. Soucieux de pérenniser nos investissements, l’usine sera évolutive : il est prévu de pouvoir l’agrandir en fonction de notre croissance d’activité.
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