La Fondation Léa Nature / Jardin Bio sensibilise à nouveau à la pollution invisible due aux perturbateurs endocriniens. « En dépit des dénégations de l’industrie chimique, les données scientifiques s’accumulent sur les risques sanitaires qui pèsent sur nous et nos enfants », alerte la fondation. D’ailleurs, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement, il s’agit d’une « menace mondiale pour la santé humaine et l’environnement ».
La Fondation Léa Nature / Jardin Bio lance donc une nouvelle campagne presse sur les perturbateurs endocriniens dans notre environnement et notre assiette. Et rappelle qu’il s’agit de substances chimiques, comme le bispéhnol A, les phtalates, les parabènes, les pesticides perturbant le bon fonctionnement du système hormonal et nerveux (source Anses). Afin de sensibiliser l’opinion publique et les décisionnaires, la Fondation Léa Nature / Jardin Bio présente le visuel d’une enfant interpellant, reprenant le verbatim « Moi, si j’étais grande ». Son esprit et sa détermination symbolisés par sa tête en gros plan, incarne une vision et pense mieux « qu’un grand ». « Elle nous enjoint au bon sens pour notre santé et celles des générations futures : supprimer les perturbateurs endocriniens du paysage », résume la Fondation Léa Nature / Jardin Bio.
La Fondation Léa Nature / Jardin Bio, sous l’égide de la Fondation de France, a été créée en 2011 pour « favoriser la sauvegarde de la nature et prévenir des impacts de la dégradation d l’environnement sur la santé de l’Homme ». Avec la Fondation et l’adhésion des marques de Léa Nature au Club 1% fort the Planet depuis 2007, 6,7 M€ ont été reversés pour la planète à 800 projets environnementaux.
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