Pleinement impliquée dans l’expérimentation sur l’étiquetage nutritionnel qui vient d’être lancée, Fleury Michon milite pour une information plus complète afin d’aider les consommateurs à manger mieux.
La marque travaille au sein du groupe SENS depuis 18 mois. 71 des plats cuisinés qui constituent sa gamme seront testés pendant 10 semaines dans les magasins participants. Pour avoir un état des lieux précis de ses 300 références et mesurer les progrès déjà réalisés, Fleury Michon s’est prêté au jeu de l’expérimentation des étiquetages SENS et Nutri-Score. Les produits ont ainsi été améliorés, à l’image du Hachis Parmentier passé d’un Nutri-Scor D en 2007 à B en 2016 avec une réduction des matières grasses, des sucres, du sel et des acides gras saturés.
La marque entend, toutefois, aller plus loin en étant convaincue que l’étiquetage nutritionnel simplifié n’est pas suffisant. Elle souligne, notamment, qu’aucun des systèmes testés ne prend en compte les modes de production ou la présence d’additifs ou d’OGM. Or, Fleury Michon agit sur ces sujets depuis de nombreuses années. Exemple : la marque utilise seulement 30 additifs sur les 300 autorisés par la réglementation européenne. La gamme de surimi, par exemple, affiche sur les packs qu’elle ne contient ni glutamate, ni polyphosphate, ni sorbitol et que les approvisionnements sont certifiés MSC. La marque a, également, lancé en 2015, une gamme de jambon J’Aime qui sont issus de porcs nourris sans OGM et élevés sans antibiotiques.
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