4e Vendée Globe pour Maître CoQ qui a remporté, avec son skipper Yannick Bestaven, la dernière édition. Une victoire aux retombées internes immenses, selon Roland Tonarelli, DG de l’entreprise.
Roland Tonarelli s’en amuse. Le DG de Maître CoQ a fait la connaissance de Yannick Bestaven sur les pontons, peu avant le départ de la dernière édition du Vendée Globe, il y a 4 ans. « J’ai tout de suite été séduit par la personne. Et l’on n’imaginait pas ce qui allait se passer ! », raconte-t-il. La deuxième fois, c’était pour l’accueillir à son retour aux Sables-d’Olonne, victorieux. « De l’émotion intense », dit-il. Parce qu’à l’époque, c’est Christian Guyony qui est à la barre de Maître CoQ. Roland Tonarelli, lui, est aux commandes de SBV, une autre filiale du groupe LDC. Mais il sait déjà, quand Yannick entame son tour du monde en 2020, qu’il va remplacer Christophe Guyony amené à prendre la direction du pôle Traiteur de LDC. C’est chose faite en janvier 2022 : « Moi, le Vendéen, exilé en Bretagne, j’allais pouvoir me réinstaller en Vendée. Evidemment, j’avais une affinité particulière pour cette course au large si particulière. Il faut dire qu’en Vendée, le Vendée Globe, c’est quelque chose de très fort. Des investissements importants sont réalisés par le département, les communes, les