Côté innovation, le cabinet Aliznet s’appuie sur deux cellules pour accompagner ses clients: l’une dédiée aux métiers et l’autre à la veille technologique. La première identifie, analyse et diffuse les nouvelles tendances et usages des marchés français et internationaux. Le L@b, lui, restitue, en quelque sorte, ces nouveaux usages sur les marchés au travers de la création de nouveaux outils en lien, à la fois, avec l’émergence des réflexions issues de la cellule métier mais, aussi, de la veille technologique, le tout en collaboration avec les clients et partenaires. Il expérimente de nouvelles solutions. Il développe des accélérateurs de croissance avec des outils clés en mains mais, également, avec des solutions sur-mesure pour répondre à des besoins spécifiques. Un ancrage terrain allié à une veille technologique qui permet à Aliznet d’être à la fois au cœur des nouvelles propositions apportées par les start-ups et des besoins stratégiques des acteurs du retail. “Ces dernières années, l’afflux de start-ups conjugué aux fortes volontés d’innovation de nos clients et prospects, le tout dans un contexte de ralentissement de l’économie, a accentué la recherche de relais de croissance autour de l’internationalisation, du digital, de l’omnicanalité, de la connaissance du parcours client, de l’optimisation des prévisions, de la planification et de la supply chain”, explique Thierry Lembert, DGA & Associé et directeur du Pôle conseil d’Aliznet. Avec un constat: beaucoup d’initiatives se sont développées tous azimuts, sans forcément de pertinence, sans entrer véritablement dans une logique réfléchie et construite de “test & learn”. “Nous avons donc essayé de prendre du recul et de recentrer nos réflexions sur les start-ups qui pouvaient potentiellement être un levier sur les métiers de la distribution. Avec l’idée que les start-ups que nous allions identifier ne seraient pas forcément les championnes de demain, mais qu’elles seraient approchées de façon pragmatique de manière à révéler tout le potentiel de leur écosystème. Cela veut dire que ce ne sont pas des sociétés présentant juste un concept sur Powerpoint mais qu’elles ont déjà au moins réalisé des prototypes, des tests, qu’elles ont levé des fonds, structuré leur organisation. Et, ensemble, on affine les développements, les process, les pratiques”, ajoute-t-il. Par exemple, les start-ups EasyTrace et Smartzer ont été référencées dès 2016 et mises quasi systématiquement en
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