Tout est parti du site web. “Imaginez, en 2018, un retailer qui ne posséderait pas de site marchand…”, s’amuse Nicolas Dubois, directeur digital chez Jardiland. Jusqu’à mars dernier, c’était le cas de l’enseigne de jardinage. Bien décidée à passer la seconde digitale, l’entreprise a créé son site et avec lui, s’est posée la question de la livraison. “Nous n’avons pas d’entrepôt central, tous nos magasins sont approvisionnés directement par nos?500 fournisseurs. Seuls 15 à 20% de nos assortiments transitent par un entrepôt, quelques références fabriquées en Asie ou notre gamme de croquettes”, explique le directeur. Deux possibilités s’offraient à l’enseigne: soit elle décidait de monter un entrepôt dédié au e-commerce, soit elle utilisait les stocks des magasins déjà en place. La seconde option a été retenue. “Quand on démarre une activité e-commerce, on ne sait pas ce que l’on va vendre a priori. Construire un entrepôt avec 20?000 références nous faisait courir le risque d’avoir trop ou trop peu alors qu’en magasin, les références sont déjà
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