UGC : contenu généré par les utilisateurs. Ces trois lettres suffisent à faire frémir les marques et les distributeurs. “Un quart du contenu qu’on retrouve sur Internet provient de l’UGC. Un contenu que les marques ne maîtrisent pas du tout”, affirme Cyril Bladier, fondateur de business on-line. Une entreprise peut donc se retrouver sur les réseaux sociaux sans avoir cherché à l’être, simplement parce que ses clients en auront parlé. “L’e-réputation est une vraie question importante aujourd’hui”, affirme Cécile Deparis, e-reputation account manager chez Vanksen. Les marques sont présentes sur le web via leurs sites, les espaces collaboratifs dont elles sont propriétaires et qu’elles organisent.
E-réputationÀ contrario, elles ne disposent d’aucun pouvoir sur tout ce qui se dit sur elles et sur leurs produits, à travers des blogs, des réseaux sociaux, des plateformes d’échanges ou des commentaires immédiats : c’est là toute la problématique de l’e-réputation. “D’un côté, c’est une formidable opportunité pour être en accord avec son public, mesure Cécile Deparis. De l’autre, les réseaux sociaux sont une énorme caisse de résonance avec une rapidité de diffusion inédite”.Un bruit sur le web court très vite