LA STRATEGIE
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Fantasque. Mais raffiné. C’est sur cette ambiguïté que Schweppes coordonne sa communication. Et l’incarne à 
travers ses égéries. Un principe qui date des années trente, époque des pin-ups, avec la prestance de Joséphine Baker, première célébrité à tourner pour Schweppes. Il aura fallu attendre 2009 pour entamer la saga interprétée par des figures 
hollywoodiennes. D’abord avec Nicole Kidman en 2009, puis Uma Thruman en 2011. “Elles donnent de l’intérêt au message publicitaire. Et si les consommateurs ont adhéré, c’est parce que nous sommes restés cohérents par rapport à l’ADN de la marque”, est convaincu Stanislas de Parcevaux, directeur marketing d’Orangina-Schweppes. Les
