
En redressement judiciaire depuis le 1er?août dernier, Doux pourrait sortir la tête de l’eau. Après que le Tribunal de commerce de Quimper a confirmé, le 9?octobre dernier, la poursuite d’activité du volailler, notamment grâce aux 20 M€ injectés par la banque Barclays et le Saoudien Al-Munajem, son premier client à l’export, les