Site Internet mobile ou application ?D’abord, les caractéristiques intrinsèques au mobile méritent que l’on s’y arrête avant de se lancer dans l’aventure. Avantage du smartphone : on le porte toujours sur soi. On peut, ainsi, au-delà du web, accéder à une multitude de services mobiles. Mais l’écran est petit : ça, c’est une vraie contrainte.Ensuite, il faut se poser la question du choix entre le site Internet mobile ou l’application mobile. Le site constitue une bonne première étape pour un distributeur afin de tester ce nouveau canal sans se lancer dans de longs et coûteux développements. Avant de lancer une application mobile, le distributeur doit se poser quelques questions : Ma marque est-elle assez puissante pour inciter l’utilisateur à télécharger mon application ? La récurrence d’utilisation de mon offre justifie-t-elle le téléchargement d’une application ? Mon consommateur cible possède-t-il un smartphone ? Mon application saura-t-elle exploiter intelligemment les fonctionnalités offertes par ces smartphones : caméra (scan), puce GPS (localisation), connectivité, mobilité… ?
Où en sont les distributeurs côté applications ?Au départ, les distributeurs se sont plutôt lancés dans le transactionnel, c’est-à-dire le m-commerce. Or, on constate que les applications qui ont remporté le plus de succès, celles qui ont réussi à créer une véritable attraction et de la fréquence d’utilisation récurrente, sont les applications de services. D’où l’intérêt pour les distributeurs de s’intéresser, aussi, à la partie services. D’autant que lorsqu’elle apporte une vraie valeur ajoutée et répond à un vrai business case, l’opération se termine par un achat. C’est le m-service qui aboutit à du m-commerce. Dans un premier temps, les applications des distributeurs se sont appuyées sur des fonctions de contenu et