Un pesto à la genovese, mis en bocal quelques heures après la coupe du basilic de plein champ, dans la région d’Emilie-Romagne. Des sauces fabriquées à partir de tomates fraîches, récoltées pendant la saison estivale. “Chez Barilla, un bon plat de pâtes, c’est comme une partition. Tous les ingrédients doivent être en harmonie”, glisse-t-on en interne. D’ailleurs, ici, on ne parle pas de forme de pâtes mais de dessins. Bienvenue chez Barilla. Une maison où “la pasta”, c’est tout un art. En terme de business, la marque clôture 2011 avec des indicateurs mélodieux. “2011 a été une très belle année pour Barilla, à la fois sur les pâtes mais aussi sur les sauces, où elle affiche des progressions presque 3 fois supérieures au marché !”, indique Stéphanie Hutinet-Caupenne, directrice trade marketing et category management. Les pâtes sèches Barilla, en effet, progressent de 5,8 % en volume, quand le marché n’augmente que de 2 %. Les sauces, quant à elles, évoluent de +13 % (versus +5,4 % pour la catégorie), grâce à des gains de références en rayon… et de belles performances sur les pesti, un cœur de business très valorisé, où Barilla détient 45 % de PDM en volume. Autrement dit, la vache à lait
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