“Finalement, en contexte de crise, les marques ont davantage besoin de se démarquer.” Tel est le constat que dresse Christian Le Bret, président fondateur des Produits de l’Année – Grand Prix Marketing Innovation. “Autrement dit, d’avoir des aspérités vis-à-vis des consommateurs comme des distributeurs, ces derniers étant, ne l’oublions pas, les premiers clients des marques et des produits”. En conséquence, à quelques mois de la fin des inscriptions de cette 26e édition, se profile l’arrivée de noms jusqu’ici inédits. À cela deux raisons, selon Christian Le Bret: “D’abord, les médias ont joué le jeu en permettant à des marques aux budgets plus limités d’accéder aux grands supports de type TV. Ce renfort de communication leur a permis d’accroître leur part de marché et, en conséquence, de s’inscrire dans une logique marketing beaucoup plus soutenue”.Alors, qui sont ces nouvelles venues? Principalement des noms issus du secteur de la cosmétique distribués en dehors des circuits traditionnels de la GMS, soit plutôt en parapharmacie ou en distribution sélective. “Ce sont des secteurs qui ont énormément travaillé leurs points de vente. Leurs techniques de commercialisation avoisinent celles utilisées en GMS avec des champs d’investigation et de développement très larges, estime Christian Le Bret. Et notre logo fait partie des outils marketing parfaitement adaptés à ce type de produits à la recherche d’une différenciation à la fois vis-à-vis des
