L’histoire commence fin 2009. Le volailler vendéen, Maître Coq, est racheté par le groupe LDC. S’ensuit un vaste programme d’investissements. Il s’agit, d’abord, de moderniser les outils de production. Quelques 50 M€ sont injectés pour améliorer, à la fois, la compétitivité de l’entreprise et les conditions de travail des salariés. Et puis, parallèlement, l’ambition est de soutenir la notoriété de la marque très présente sur les produits d’innovation, le snacking et les panés. À l’investissement industriel s’est donc ajouté un volet communication. “Les marques du groupe, comme Le Gaulois ou Loué, communiquaient déjà par le biais d’outils traditionnels. Nous avons voulu nous différencier. C’est ainsi qu’est née l’idée du sponsoring. Et, comme nous sommes une entreprise vendéenne, nous nous sommes tournés tout naturellement vers la voile”, souligne Stéphane Salle, directeur général de Maître Coq. Naturellement vers la voile, certes. Mais de là à choisir LA course mythique, l’Everest de la voile, le Vendée Globe, pour son premier sponsoring sportif, il fallait oser?!Très vite, l’entreprise se fixe trois objectifs principaux. Il s’agit, d’abord, de développer la notoriété de la marque. “Nous avions 60% de notoriété assistée et nous voulons atteindre 75% à fin 2013. C’est ambitieux mais, avant le Vendée Globe, on parlait très peu de nous”, précise Stéphane Salle. Pour l’heure, le terrain semble lui donner raison puisque le dispositif média mis en place à l’occasion de la course a permis à la marque de gagner 9 points de notoriété entre janvier et septembre2012.Deuxième objectif: développer les ventes. De
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