Vous publiez les résultats d’une enquête menée début 2016 auprès de vos clients sur le Big Data. Pourquoi? Franck Archer. En collaboration avec notre direction marketing, nous réalisons des événements baptisés 5 à 7, sur des thématiques métiers et sectorielles. Lors de rendez-vous consacrés au Big Data – sur les nouvelles solutions, le DataWiz ou la data intelligence -, nous avons interrogé nos clients présents sur leurs projets au travers de deux questionnaires: “Big Data & connaissance client” et “Data Science & Big Data”. Nous avons, aussi, intégré un grand nombre d’informations provenant directement de nos clients travaillant sur cette problématique. Nos questions étaient très orientées sur l’effectivité des projets. Les chiffres de notre enquête sont issus de ces deux sources. Le public sollicité concerne aussi bien les grands groupes que les petites entreprises qu’il s’agisse de clients déjà fortement imprégnés de culture Big Data ou quasiment béotiens.
L’étude souligne, d’abord, l’intérêt des entreprises pour trois types de technologies: Hadoop, Spark et R…Oui, ce sont les trois technologies les plus plébiscitées. La plateforme Hadoop est le socle technologique de la base de données. Spark est une nouvelle interface d’accès au stockage Haddoop qui fournit un framework avec des fonctionnalités analytiques, notamment des statistiques de navigation de données. Cet outil a le vent en poupe, aujourd’hui, parce qu’il apporte une vraie valeur d’ergonomie et d’accès aux données, pour les utilisateurs finaux comme pour les développeurs, à tout le socle stockage encapsulé par Hadoop. Enfin, R correspond à la montée en puissance de l’approche open source dans le domaine de la modélisation statistique. Historiquement, c’est l’avatar d’un langage logiciel déjà orienté “statistiques” qui s’appelle