Attendue, l’introduction en Bourse de Facebook, ajournée à plusieurs reprises, faute de capital suffisamment conséquent, n’est pas une surprise. “Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook, a cherché à s’introduire en Bourse au meilleur moment : assez tôt pour imposer sa domination mais aussi au moment où il pouvait obtenir la meilleure valorisation”, explique Virginie Lazès, directrice associée de Bryan Garnier. De fait, les données financières du site, auditées sur 2011, dévoilent un chiffre d’affaires à 3,71 Mds$, soit deux fois plus qu’en 2010. Mais plus qu’une valorisation, cette entrée sur les marchés, avec près de 5 Mds$ de titres, ouvre au premier réseau social mondial la voie du e-commerce. Car si Mark Zuckerberg parvenait, par ce moyen, à détrôner le moteur de recherche Google, Facebook s’imposerait comme la première porte d’entrée sur Internet et, par voie de conséquence, comme le plus grand portail
Il reste 85% de l'article à lire
Accédez à l’ensemble
des articles Points de vente
à partir de 95€