Dans un climat morose, la parfumerie sélective résiste, bon an, mal an. En 2013, le marché accuse un léger recul en valeur de 1,5% par rapport à 2012, à 2,9 Mds€. “Si le bilan de l’année est négatif, il n’est pas catastrophique. Sur un marché de la beauté qui n’est pas de première nécessité, nos performances restent relativement stables”, souligne Jasmine Petiot, vice-présidente de la Fédération Française de la Parfumerie Sélective (FFPS).
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