La concurrence accrue et la volatilité des prix des biens de consommation ont forcé les entreprises du secteur de la grande distribution à se concentrer sur la gestion de la trésorerie, l’amélioration de la rentabilité et du fonds de roulement. En France, lorsqu’une entreprise est en difficulté, cela va de pair avec une perte de confiance de l’environnement. Les fournisseurs, les banquiers par exemple, sont moins souples dans leurs attentes. C’est un cumul d’événements, une série de choses qui tournent mal, alors que les problèmes de trésorerie augmentent. La perte de trésorerie ne se fait pas du jour au lendemain: il y a des signaux d’alerte que le chef d’entreprise ne prend pas forcément en compte. Dans ce schéma classique, dans un premier temps, survient une crise de liquidités. Il faut alors donner de la visibilité à l’entreprise quant à son futur. À nous, alors, d’intervenir en tant que secouristes: il y a un réel besoin de mesures vitales à adopter, comme par exemple, une réunion entre les différents acteurs pour trouver une conciliation, voire une renégociation des dettes. Ces mesures d’arbitrage
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