
En 2016, 34% des foyers comptaient au moins une personne qui tend à réduire ou arrêter sa consommation de protéines animales, contre 25% l’an dernier (source Kantar Worldpanel, septembre2016). Ces résultats révèlent l’intérêt des Français pour le végétarisme et plus encore le flexitarisme, consistant à s’autoriser une fois par semaine, voire par mois, un steak de viande ou un filet de poisson. Tous adoptent une alimentation plus végétale afin de mieux préserver leur santé, les ressources de la planète et, enfin, pour des raisons éthiques sur le bien-être animal. Et le nombre de consommateurs ne cesse d’augmenter, obligeant