Secs ou moelleux, les biscuits et gâteaux restent un incontournable de l’épicerie sucrée. Les acteurs du marché s’efforcent de cocher toutes les cases : produits plus sains, approvisionnements locaux et maîtrisés, transparence et traçabilité… sans oublier le plaisir et la gourmandise !
Par Sylvie Druart
Les points forts
► Traçabilité Des efforts et des démarches
► Emballages Toujours plus vertueux
► Nutrition Des recettes plus saines
Le marché se divise en deux. Et tous les deux ne suivent pas les mêmes progressions. Le premier, celui des biscuits secs céréaliers “reste conduit par les confinements à répétition qui ont encouragé les gens à consommer et stocker des biscuits”, indique Aurélie Chaloyard, responsable marketing de la marque LU dans le groupe Mondelēz. Les marques nationales ont profité de cet engouement, en tant que valeur refuge et historique. Dans ce contexte, les produits ayant le mieux performé sont les goûters fourrés, les biscuits nappés ou encore les cookies. A contrario, le second marché des biscuits, celui des moelleux (gâteaux moelleux, multicouche, brownies, cake aux fruits et pains d’épices), reste en décroissance car plus ressemblant au fait maison.