Petit prix. Les cyberacheteurs le recherchent sans relâche sur Internet. Pour leur faciliter la tâche, des sites de cashback (remise en argent) se sont créés. Le principe ? Une fois inscrit, les membres sont rétribués pour les transactions qu’ils ont effectuées. Donc, à chaque fois qu’un internaute commande un produit sur un site marchand présent sur la plateforme, cela génère une commission d’affiliation. Elle est ensuite partagée : une part revient à l’internaute sous forme de bon de réduction, d’épargne ou d’argent comptant, l’autre part est remise au site de cashback. Sur Wajestic, par exemple, jusqu’à 5€ sont reversés aux clients achetant les produits de la marque de cosmétique Dr. Pierre Ricaud (filiale d’Yves Rocher). Et le client peut aussi cumuler ce gain avec les codes promos du cashbacker. Pour les marchands, les bénéfices sont multiples, notamment en matière de trésorerie. Comme le cashback est un paiement différé avec des délais espacés, il leur est possible de payer le client en rétrocédant entre deux et trois mois les commissions. Aussi, le cashback offre un coût à la performance qui est proportionnel au chiffre d’affaires généré. Et les actes d’achat de l’internaute sont tracés en fonction du nombre de clics. Véritable levier d’acquisition, il permet d’accroître les ventes d’un site en ciblant des acheteurs qualifiés. Ce phénomène a été vérifié pour Darty.com. La fréquence d’achat est plus forte de la part des
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