Il a échappé à tout. Aux dictats nutritionnels qui le taxaient de “poison”, à la banalisation qui aurait pu avoir sa peau. Le sucre est un survivant qui se porte mieux que l’an dernier au regard des données Nielsen en CAM, arrêtées au 17?juin dernier. Le secteur représente 460,448millions d’euros en GMS et progresse de 2,3% tout en s’érodant tout de même de 3,1% en volume à 323?444 tonnes. En fait, la valorisation vient des sucres dits spéciaux. Comme le souligne Magali Muraz-Girad, responsable marketing Tereos (Beghin Say). Des sucres qui ont évolué de + 7,4 % en volume selon un des panels de distributeur du marché. Et ce, notamment grâce au retour
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