Les flux administratifs et financiers (y compris les solutions de financement pour les fournisseurs) sont généralement traités par des processus spécifiques peu coordonnés avec le suivi des commandes, la gestion de l’approvisionnement et de l’acheminement physique des marchandises. Cette désynchronisation tend à faire émerger des risques “inutiles” pour la supply chain. Une Supply Chain qu’il est, en outre, toujours difficile d’équilibrer d’un strict point de vue opérationnel entre le niveau de la demande des clients finaux et les plans d’approvisionnement fournisseurs. En effet, l’image des stocks planifiés disponibles à la vente peut, en particulier, se trouver faussée.Au-delà de la synchronisation des flux documentaires, les acheteurs (enseignes, marques) et les fournisseurs attendent de leurs partenaires financiers (banque, Coface…) des services améliorant cet aspect de la supply chain (par exemple via le remplacement de la lettre de crédit par un équivalent automatisable pour les flux “grand import”).
Au global, on constate donc un manque d’alignement des informations et objectifs entre :• la supply chain opérationnelle (achats, approvisionnements, logistique, planning, côté acheteurs ; suivi commandes, expéditions, logistique, côté fournisseurs) ;•