La marque Daunat déploie le programme “Mieux”, articulé autour de 4 engagements, pour répondre aux attentes de ses 500 000 consommateurs quotidiens.
Touchant l’ensemble des consommateurs français grâce à une offre produit très large, Daunat évolue sur des univers produits variés tels que le sandwich, la salade ou encore le burger. Grâce à cela, la marque nourrit chaque jour plus de 500 000 personnes et se déclare proche de ses consommateurs.
Des engagements forts
Au cœur de sa stratégie, Daunat a déployé un programme d’engagements forts baptisé le programme “Mieux”, articulé autour de 4 piliers : le verdissement de ses produits, puisqu’en avril, 100 % des produits afficheront le Nutri-Score dans un souci de transparence. Daunat réduit aussi ses emballages inutiles, dont le plastique, et les suremballages en carton ou film, allège les packs et privilégie des matières premières recyclables. “Cette démarche déclinée en plans quinquennaux peut sembler longue. Nous sommes tributaires des évolutions technologiques des fournisseurs et d’un écosystème complexe qui fait intervenir des collectivités locales pour la collecte et le recyclage”, explique Sylvie Truong, responsable marketing Daunat.
Une stratégie de petits pas
Par ailleurs, le fabricant privilégie la stratégie des petits pas : “Pour le lancement de Salad’Bar, en avril 2019, Daunat a réduit le poids du pack de 15 %. Nous travaillons sur le PET recyclé. En 2021, les bols pourraient être fabriqués avec 50 % de cette matière première. Tant pis si l’aspect sera moins cristallin qu’avec du PET dit vierge”, poursuit Sylvie Truong. Ensuite, la marque a mis en place des filières avec des partenariats montés avec l’amont de la chaîne pour travailler sur le bien-être animal entre autres. Par exemple, Daunat s’est engagé à améliorer le bien-être des poulets de chair dans son approvisionnement en rejoignant “l’European Chicken Commitment”. L’objectif est que d’ici 2026, 100 % de l’approvisionnement en viande de poulets soit issu d’élevages et d’abattoirs respectant la totalité des critères de l’ECC, comme la baisse des densités en bâtiment et des méthodes d’abattage plus respectueuses. Dernier pilier, l’attribut santé, puisque le service R&D travaille sur de la recherche fondamentale pour apporter des attributs santé à ses développements futurs.