Malgré de mauvais résultats généraux, les sirops ne cessent de se réinventer pour répondre aux attentes des consommateurs en termes de plaisir, diversité de goûts, régionalité, bio…
En décroissance de -3,4 % (Nielsen ventes volumes P1 2020), les sirops enregistrent également de mauvaises performances. Pour plusieurs raisons : une météo défavorable l’année dernière, associée à un recul des produits piliers comme la grenadine et la menthe en bidon, ainsi qu’à une image de manque de modernité et de naturalité impliquant des reports sur d’autres produits jugés plus sains. “Les sirops laissent, toutefois, une liberté de choix importante quant à la diversité des parfums et au degré de dilution permettant de contrôler son apport en sucre”, précise Stéphanie Charvoz, directrice marketing